RECRUTEMENT
SOFT SKILLS VS HARD SKILLS

Les compétences dites « douces » prennent petit à petit le pas sur les compétences purement techniques... les SOFT SKILLS
Une compétence de l’intelligence émotionnelle
Une « soft skills » est une qualité souvent associée au domaine de l’intelligence émotionnelle. Par exemple, votre façon d’entrer en relation, de cultiver cette relation et de communiquer avec les autres, d’être apprécié pour vos qualités humaines, d’être intuitif, chaleureux, d’être optimiste et de voir le verre à moitié plein, etc
Mise en lumière de la personnalité du relationnel et de l’intelligence émotionnelle sur les compétences techniques
>>Ce sont des caractéristiques personnelles qui permettent d’interagir de manière efficace et harmonieuse avec d’autres personnes, ce sont des compétences qui relèvent plus de la personnalité
L’espace, le travail, le savoir, tout change. Le cerveau aussi. Pour le coup les compétences dites « techniques » cèdent le pas petit à petit aux compétences humaines.
De l’entreprise « paternaliste » avec de l’information descendante, aujourd’hui l’information est partout et c’est le sens qui est recherché.
Au-delà du savoir-faire, c’est le savoir-être qui prend de plus en plus le pas et sera de plus en plus recherché par les entreprises et donc par les recruteurs. D’ailleurs, qu’est-ce qui fait qu’une personne progresse dans l’entreprise ?
Ses compétences techniques ou bien ses compétences relationnelles et émotionnelles ? L’un ne va pas sans l’autre.
A côté des compétences techniques dites les « hard skills » (savoir utiliser un logiciel, être titulaire d’un diplôme ou bien d’une certification attestant de compétences technique), des qualités humaines et relationnelles les « soft skills » sont de plus en plus valorisées.
Pour les définir, le plus simple est de le faire par opposition aux hard skills
Les hard skills sont des compétences formellement démontrables, nées d’un apprentissage technique, souvent d’ordre académique et dont la preuve est apportée par l’obtention de notes, de diplômes, certificats. Face à ces hard skills, palpables, les soft skills sont plus diffuses et informelles, d’où leur qualificatif de « soft » c’est à dire de « douces ».
Ce sont les compétences que l’on n’apprend pas à l’école et que l’on utilise tous les jours.
Ce que recherchent désormais les entreprises, ce sont des collaborateurs dotés de compétences telle que l’empathie, l’écoute, la pédagogie, l’adaptabilité, la créativité, la gestion du stress… Toutes ces compétences mettant l’accent sur travail en équipe, l’écoute et la communication ou encore l’organisation, et qui renforceront non seulement la culture de l’entreprise mais aussi son organisation agile.
Parce que le rythme est plus en plus rapide, toutes les compétences permettant de coordonner, de donner du sens et de créer du lien sont recherchées.
Et comment les évaluer ?
C’est là que le métier de recruteur va demander de plus en plus de finesse et de pertinence pour qualifier le savoir-être.
Le recrutement axé uniquement sur le diplôme et l’éducation ne suppute que le savoir-faire technique pourtant indissociable des soft skills.